Le suspense était à son comble au Parlement canadien alors que les PDG des grandes banques se retrouvaient sous les feux des projecteurs pour une audition cruciale. Le sujet brûlant de discussion ? Le changement climatique. Entre pression politique et attentes du public, quelle position ont-ils adoptée face à ce défi environnemental majeur ? Découvrons ensemble les coulisses de cette confrontation inédite !
Les engagements des PDG face au changement climatique
Les PDG des cinq grandes banques canadiennes ont été questionnés par les membres du parlement sur leur engagement à lutter contre le changement climatique. Malgré des assurances quant à leur volonté de réduire leur financement de l’extraction de combustibles fossiles, ils ont souligné que cette transition prendrait du temps.
Le financement des énergies fossiles en question
Les banques canadiennes ont été critiquées pour leur financement important dans l’industrie pétrolière et gazière, contribuant ainsi au changement climatique. Elles ont financé environ 104 milliards de dollars dans les énergies fossiles l’année dernière, représentant 13% des transactions mondiales.
Les objectifs climatiques des banques
Les PDG ont tous établi des objectifs climatiques, notamment l’atteinte de zéro émission nette d’ici 2050. Cependant, des membres du parlement ont souligné le manque d’engagement à ne financer que des projets ayant un impact significatif sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Les critiques des activistes environnementaux
Malgré les engagements pris par les banques, les activistes environnementaux ont critiqué le manque d’actions concrètes. Julie Segal, responsable du financement climatique chez Environmental Defence Canada, a déclaré que les investissements des banques freinent les progrès en matière de lutte contre le changement climatique.